Entre ses expériences sur l’électricité (par exemple en testant la foudre sur un cerf-volant !) et la rédaction de la Constitution des Etats-Unis, Benjamin Franklin appréciait les cafés exceptionnels, dont il vantait les nombreuses qualités : « parmi les luxes de la table, le café peut être considéré comme l’un des plus précieux. Il excite la gaieté sans ivresse, et ouvre agréablement l’esprit sans jamais être suivi de tristesse ni de langueur ». Non dénué d’humour, il avait coutume de demander : « Un café, s’il vous plaît. Si vous n’en avez pas d’excellent, apportez-moi du thé. Mais même un très bon thé pourrait être pire qu’un mauvais café… ».