Il ne faut pas s'étonner que le café ait élu domicile dans le plus grand pays d’Amérique latine : le Brésil offre aux caféiers tout ce qu’ils aiment, chaleur et pluies généreuses…
Croissance rapide
Pour peu que le climat et le sol leur conviennent, les jeunes caféiers s’étendent rapidement. Très vite, le paysage n’est plus qu’arbustes à feuilles persistantes couverts de fleurs blanches, puis de cerises rouges. La récolte se fait à partir d’avril-mai. Une multitude d’espèces de café cohabitent au Brésil : les arabicas Capin Branco (doux), Vista Allegre (fruité), Bourbon (doux et savoureux, peu acide), Rio (au goût légèrement médicamenteux), Bahia (très rare), ou encore le robusta Conillon…
Une culture familiale
Avec plus de 30 millions de sacs de 60 kg de café exportés chaque année, on pourrait penser que les plantations de café brésiliennes sont « industrialisées ». Pas complètement : 300.000 petites entreprises familiales cultivent le café, généralement à la main, sur des terres de moins de 10 hectares. Ajoutées les unes aux autres, toutes ces petites productions font un pays « géant » du café. Gros avantage de cette culture familiale : les caféiers sont chouchoutés.
Bahia, un café unique
Le goût authentique, doux et fruité du Café Privilège Bahia n’est pas un hasard ! Cet arabica de pure origine pousse dans des plantations certifiées Rainforest Alliance (respect du développement durable). Il est bien sûr récolté à la main et soigneusement trié (pour éliminer les fruits abîmés ou pas assez mûrs), puis torréfié selon un savoir-faire ancestral. Produire un grand cru est plus coûteux, certes, mais le plaisir d’un bon Moment Café n’a pas de prix !